Segurança pública e violência policial: uma abordagem à luz do estado de exceção na concepção de Giorgio Agamben
Descrição
On ne peut pas nier le résultat pervers que l'élimination de vies sous prétexte d’améliorer d'autres vies peut générer au sein d'un système de justice qui accepte la suspension de la loi pour l’instauration de “l’ordre”. Sur la base de cette prémisse, le présent travail a cherché à analyser la relation entre les actions violentes de la police brésilienne et la caractérisation de l'état d’exception. Avec l’utilisation de la méthode de recherche qualitative et en utilisant la collecte et l’analyse de contenu de données liées à la violence, en mettant l’accent sur les décès dus à l’intervention de la police des unités fédératives brésilienne, cette recherche visait à évaluer dans quelle mesure la violence policière au Brésil exprime une condition d’un état d’exception dans la conception théorique de Giorgio Agamben. La technique de recherche employée a impliqué la documentation indirecte de sources primaires et secondaires liées à la sécurité publique, aux droits de l’homme, à la violence policière et à l’ensemble de l’ouvrage de Giorgio Agamben qui traite de l’état d’exception, comme conclusion qu’il est possible de caractériser l’état d’exception dans la conception emploie par Giorgio Agamben comme paradigme du gouvernement brésilien en matière d’actions lié à la sécurité publique, car l’action dans le secteur est davantage orientée vers la garantie de l’ordre institué que vers la défense de la citoyenneté, des droits et garanties fondamentaux et du système juridique actuel. En outre, c’est possible de défendre que la politique publique employée dans le secteur maintient, même au moment du passage au processus de démocratisation, la militarisation de la sécurité publique, permettant des actions fondées sur la doctrine de la défense nationale, que mis en place des brésiliens dans la condition d’ennemis de l’Etat et qui permet de déduire que, pour le maintien de l’ordre public, il est nécessaire d’établir une logique de guerre dirigée contre l'ennemi caractérisée, la plupart du temps, par la race et la vulnérabilité sociale, permettant des actions policière souveraine, en dehors du système juridique, pour l'élimination de l’ennemi avec le objectif de rétablir l’ordre sanscertitude de la responsabilisation nécessaire à la sauvegarde de l’Etat de droit démocratique.Nenhuma